• Des centaines de chiens aux États-Unis et peut-être même au Canada sont tombés malades après avoir consommé des friandises pour animaux de compagnie, mais les autorités sont incapables d'en expliquer la cause.

    La US Food and Drug Administration (FDA) a reçu 900 rapports de maladies et de décès depuis la publication en novembre d'un avertissement sur des friandises pour chiens à base de poulet, selon la chaîne d'information MSNBC.

    Les problèmes associés à la consommation des friandises peuvent aller de vomissements à la diarrhée, en passant par l'insuffisance rénale et le syndrome de Fanconi (une maladie des reins), a fait savoir la FDA. La maladie est plus fréquente chez les petits chiens qui mangent régulièrement des friandises.

    La FDA a enquêté sur ces produits depuis 2007, lorsqu'elle a commencé à recevoir des plaintes. L'Association canadienne des médecins vétérinaires a émis une alerte en juin au sujet des cas similaires de maladie chez les chiens au pays.

    Aucune organisation n'a été en mesure d'identifier la cause, ou bien les marques exactes des friandises qui sont responsables de ces maladies.

    «La FDA continue de nombreux essais chimiques et microbiens, mais elle n'a pas identifié un contaminant», a indiqué l'agence qui, en conséquence, ne peut pas émettre un rappel.

    «Sauf si un contaminant est détecté et que nous avons la preuve qu'un produit est dénaturé, nous sommes limités dans les mesures réglementaires que nous pouvons prendre», a ajouté l'agence.

    La FDA a indiqué que ces maladies ne sont pas causées par de la mélamine, associée aux maladies et aux décès d'animaux au Canada et aux États-Unis en 2007.

    in "canoe.ca"



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  • os 1Je me suis dit que je devait équilibrer un peu les choses car quand on est prêt à recevoir son chiot à la maison, la première question qui se pose est : Comment le nourrir ? Les conseils ne manquent pas ! Mais...

    Encore quelques jours pour prendre sa décison. Si vous avez un avis, cliquez sur "commentaires"

     


    Nell:Debut de barf par Supplete


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  • Nourriture Pour Chiens et Chats par whatifeel

     

    Lorsque vous lisez sur le paquet de croquette pour chien (ou autre aliments pour chien industrielle) la liste des éléments constituant, vous distinguez quatre parties :

    - ingrédients
    - analyse moyenne
    - vitamines
    - oligoéléments et sels minéraux

    Il convient d’étudier en détail ce que recouvrent ces termes pour comprendre leurs variations (augmentation ou diminution) et l’intérêt que chaque élément présente pour l’équilibre et la santé de votre chien.

    Les ingrédients représentent la liste des composants : protéines animales, céréales, gluten, graisses animales, fibres… Les ingrédients peuvent être d’origine végétale ou animale.

    Les céréales

    Le maïs : il apporte 355 à 365 kcal d’énergie métabolisable et 9 à 11 g de protéines par 100 g. Il contient 4 à 6 % de lipides, riches en acides linoléique et linolénique. De plus, il fournit des minéraux tels que potassium, phosphore, fer, calcium, ainsi que du carotène, du tocophénol, de la thiamine et de la pyridoxine. Il est très utilisé et constitue une source d’amidon intéressante. Il peut s’agir de maïs-grain écrasé et floconné ou bien broyé en farine. Ce grain peut au préalable avoir été débarrassé de son enveloppe et de son germe, ce qui ne laisse que l’amidon. Cet amidon, comme les autres matières premières, subit soit un passage au four, soit une cuisson-extrusion. On extrait également du grain de maïs sa fraction protéique, le gluten, largement employé dans l’industrie comme complément protéique.

    Le blé tendre : il est utilisé sous forme de flocons, de farine blutée, de farine basse, de remoulage « demi-blanc », de grains « popés » (soufflés et éclatés), de biscuits, de germes de blé, etc. (l’alimentation traditionnelle l’inclut sous forme de pain). Comme le maïs, le blé apporte essentiellement des glucides sous forme d’amidon.

    Le blé dur : il est présent sous forme de pâtes précuites, colorées ou non par de la poudre d’épinards, de carottes ou autres, et incorporées dans des aliments secs multicomposants. Les brisures de riz : elles doivent être très cuites pour que leur amidon devienne digestible. Il s’agit de brisures de riz disponibles seulement dans les circuits d’aliments pour animaux (non vendables telles quelles pour l’alimentation humaine), réduites en poudre et extrudées, donnant du riz « soufflé ».

    L’orge et l’avoine : l’orge est riche en cellulose. L’avoine décortiquée a parfois été utilisée, mais elle est jugée trop chère. L’intérêt de ces matières premières est qu’elles apportent des glucides.

    Le son : issu de l’enveloppe des grains de céréales, il est riche en phosphore et en hémicellulose. Il accélère la satiété et entraîne une amélioration du transit.

    Les légumes

    Les légumes, en quantité équilibrée dans la ration, avec des ingrédients apportant protéines et minéraux, sont de bons aliments. Ils sont riches en eau (80 à 95 %). Sur la base de la matière sèche, ils sont riches en glucides (60 à 80 %) et en fibres (7 à 10 %) et 34 pauvres en protéines (8 à 14 %), lipides (1 à 4 %), calcium (0,25 à 0,5 %) et phosphore (0,25 %). Il est donc difficile de préparer un régime équilibré pour chien s’il ne comporte aucun produit d’origine animale.

    Les carottes : elles sont riches en substances pectiques, présentent une très bonne digestibilité et, en diminuant l’absorption des glucides, elles diminuent l’hyperglycémie postprandiale. Elles sont utilisées dans l’industrie sous forme déshydratée : en farine, incorporée dans des aliments secs, ou en copeaux déshydratés.

    Les légumes verts : tous types de légumes sont utilisés à tort ou à raison dans les rations ménagères en fonction des opportunités. Les petits pois, par exemple, sont plutôt à déconseiller (ils risquent d’entraîner des fermentations et contiennent des substances antinutritionnelles).

    Dans l’industrie, les légumes mis en oeuvre consistent en sous-produits de l’alimentation humaine tels que haricots verts, queues de persil, poireaux, etc. Tous ces légumes verts, de par leur richesse en cellulose, augmentent la vitesse du transit et provoquent une certaine adsorption des enzymes digestives. Tout cela contribue à diminuer le coefficient d’utilisation digestive de la ration.

    Les pommes de terre : elles sont déconseillées, car leur amidon est très difficile à digérer. Toutefois, elles sont utilisables dans les rations ménagères à condition d’être très cuites, jusqu’à ce qu’elles tombent en purée d’elles-mêmes. Dans l’industrie, elles sont employées sous forme de bouchons, puis broyées en farine ; mais en pratique, elles sont peu utilisées.

    Les graines de légumineuses : par leur contenu deux à trois fois plus élevé en azote que celui des céréales, les graines de légumineuses représentent la source la plus importante de protéines végétales. En même temps, elles sont riches en glucides (25 à 55 %), en sels minéraux (potassium, phosphore, magnésium, fer, etc.) et en vitamines du groupe B.

    Certaines d’entre elles (soja, arachide) constituent également une source très importante de graisse (20 à 45 %), sont riches en lécithine, en acide linoléique et en tocophénols. Le tourteau de soja est une très bonne source de protéines végétales ; il entre dans la composition de certaines croquettes.

    Les tomates : elles sont utilisées déshydratées, en faible quantité, sous forme de poudre. Leur incorporation a davantage pour origine le marketing que la diététique, afin de faire valoir une appellation « à la tomate ».

    Autres composants de la nourriture pour chien

    Les colorants naturels
    Sont employés : poudre de betterave (substitut de l’érythrosine), poudre de céleri, d’épinards, etc.

    Les huiles végétales
    De nombreuses huiles végétales peuvent être utilisées (tournesol, soja, colza, maïs, pépins de raisin…). Elles apportent de l’énergie, mais aussi et surtout des acides gras essentiels : acides linoléique et linolénique ; en revanche, elles sont dépourvues d’acide arachidonique.

    Toutes ces huiles sont facilement oxydables et subissent une stabilisation préalable à leur utilisation. Si l’on donne au chien une alimentation industrielle, on peut néanmoins, pour qu’il ait un beau poil, ajouter une cuiller à dessert d’huile végétale par tasse d’aliment sec, au maximum.

    La levure de bière : elle est riche en vitamines du groupe B, notamment B1, B3 et B5, indispensables au bon état des phanères (poils, griffes), mais elle est dépourvue de vitamines liposolubles. Elle est riche en certains acides aminés tels que, notamment, leucine, valine, lysine.

    Elle contient en quantité des lécithines, d’où une stimulation du foie et une meilleure assimilation des graisses. Dans l’industrie, elle est incorporée 35 avec les farines, dans le prémélange.

    Les oignons : la consommation d’oignons crus (plus de 0,5 % du poids corporel) entraîne la formation d’inclusions éosinophiles dans les érythrocytes, provoquant anémie hémolytique, fièvre et mort.

    Cette toxicité est liée à un alcaloïde, le diméthylsulfure- propyldisulfure. Contrairement à certaines idées reçues, l’oignon, pas plus que l’ail, ne saurait éliminer les vers ou les puces. Au mieux, ils rendront l’haleine de l’animal déplaisante ; au pire, ils provoquent une anémie ; ils sont donc à proscrire.

    Les pulpes de betterave : elles s’utilisent sous forme déshydratée. Leur faible digestibilité est liée à leur grande richesse en cellulose vraie. Elles stimulent le transit intestinal, mais sont particulièrement fermentescibles, d’où une production d’hydrogène, de gaz carbonique et de méthane. Quelques fabricants d’aliments les emploient.

     
    Florence Desachy sur  http://wamiz.com
    • Docteur vétérinaire comportementaliste, enseignante et directrice d'une collection d'ouvrages animaliers

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  • os-1.jpg La viande. les abats et les os sont les éléments principaux de la diète de votre chien. Certains ne donnent d'ailleurs que ça à leurs chiens. Les os ne doivent jamais être cuits car ils pourraient causer de sérieuses blessures à votre chien. La viande est riche en protéines qui sont les éléments "bâtisseurs" de l'organisme, essentiels dans la constitution des muscles, de la trame osseuse et des tissus et qui entrent dans la composition de nombreuses enzymes et hormones.

    De plus, les protéines sont de très bonne valeur nutritionnelle. Elles apportent tous les acides aminés (constituants des protéines) qui sont indispensables pour permettre la fabrication des propres protéines du chien.

    Les viandes et les poissons ont également pour caractéristique d'être une bonne source de fer. Le os sont nécessaires pour l'apport en calcium. Ils sont également indispensables pour la santé dentaire de votre chien.

    Le poisson est une excellente source d'acide gras essentiels. On évitera toutefois le saumon du Pacifique qui peut être infecté par une douve porteuse d'un agent infectieux mortel pour les canidés.

    d'après : Barf.CH


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  • Gipsy Queen 10 11 2011Pour avoir un chien beau et en bonne santé, une alimentation équilibrée et de bonne qualité s'impose.

     

    Les besoins des chiens sont différents des nôtres : ils ne doivent donc pas manger comme nous. De plus ces besoins sont variables en fonction de la taille du chiot.

    On observe une prise de poids importante au début puis un ralentissement entre 4 et 6 mois. A tout âge, les excès alimentaires sont tout aussi néfastes que les carences. Nos vétérinaires  ont sélectionné pour votre compagnon des aliments de haute qualité dont l'origine des matières premières est garantie. 


    FAUT IL VARIER L'ALIMENTATION ?

    Le chien n'a pas besoin de variété, il  peut manger la même chose tous les jours sans se lasser. De plus les transitions alimentaires brutales sont souvent à l'origine de troubles digestifs.

     


    QUE DOIT BOIRE LE CHIOT ?

     

    De l'eau propre doit être disponible tout le temps. Il faut bannir le lait (même coupé  d'eau) car il est à l'origine d'un grand nombre de diarrhées. Les besoins en eau varient en fonction de l'alimentation, de l'activité de l'animal, de la température....


    NOMBRE DE REPAS

    - De 2 à 6 mois : le chiot doit prendre 3 repas par jour.

    - De 6 à 8 mois : 2 repas sont suffisants

    - Après 8 mois : 1 seul repas suffit.

     


    QUAND DONNER À MANGER

     

    Il est conseillé de faire manger le chiot après ses maîtres et dans un endroit séparé. Le repas est mis à sa disposition pendant 20 minutes, puis on enlève la gamelle jusqu'au repas suivant. 


    CE QU'IL FAUT EVITER

     

    - Eviter de donner à manger à table.

    - Eviter de laisser de la nourriture à disposition toute la journée.

    - Eviter de regarder le chiot lorsqu'il mange.


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