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C'est avec joie que nous venons d'apprendre que Morgan et Elfie sont "Championnes de Bretagne" !!! Gipsy (malgré ses relations avec "Elfie") se joint à nous pour féliciter nos deux gagnantes.
Gipsy a déclaré : "Elle est forte ma prof !". Prochaine étape le championnat de France du côté de Limoges.
Dimanche (29 avril), c'est sous les intempéries que se sont tenues les différentes épreuves du championnat de Bretagne d'agility, organisé leCentre d'éducation canine et d'agility de Brest. Malgré la pluie et un vent violent, les évolutions de 80 chiens, venus de tout l'Ouest, ont pu sedérouler sur leterrain de sport de Kérisbian, àSaint-Marc. Les infrastructures mises à disposition étaient à la hauteur de la manifestation. Les compétences et la disponibilité du service animal et ville, mené par Robert Tanguy, ont permis de maintenir les épreuves du concours du dimanche dans des conditions optimales. Sans oublier les bénévoles du club, comme d'habitude à la hauteur des événements.
Les champions de Bretagne
CATÉGORIE A: deuxième degré, Élodie Pastezeur avec Disney, shetland, club de Corps-Nuds; troisième degré, Julien Orand avec Aita, terrier parson, club de Ploërmel.CATÉGORIE B: deuxième degré, Régis Gallerand avec Tana, chien finnois, club de Rennes-Cesson; troisième degré, Laure Calmelet avec Disy, shetland, club de Vannes.
CATÉGORIE C: deuxième degré, Morgan Rolland avec Elfie, border collie, club d'Ergué-Gabéric; troisième degré, Antoine Le Bizec avec Baïka, border collie, club de Vannes.
CATÉGORIE D: deuxième degré, Aline Le Lec avec Andjie, eurasier, club de Vannes.
in "Le Télégramme"
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BULLETIN DE SANTE Le vétérinaire a pratiqué le 23 avril une "ovario-hystérectomie" sur GIPSY. L'opération s'est passé normalement, elle est rentré à la maison le soir même. Elle a du porter une collerette pour éviter qu'elle n'enlève le pansement, les fils ou qu'elle se lèche la plaie. Toutes le sorties ont donc du se faire sous contrôle : laisse ou longe.
Le 3 mai, le vétérinaire lui aretiré les fils. Il a constaté une boursouflure sur la plaie. Gipsy devra donc être revue dans trois semaines pour un contôle. Elle ne porte plus de collerette mais doit rester sous contrôle pour toutes ses sorties. Toute activité "sportive" lui est proscrite pour le moment.
La stérilisation de nos amis à quatre pattes est un sujet souvent discuté. La polémique tourne souvent autour du fait que cet acte peut être considéré comme une mutilation qui n’est pas dans l’ordre des choses. L’anthropomorphisme amène beaucoup de propriétaires à se poser la question de leur point de vue et non de celui de leur compagnon. Ainsi qu’en est-il réellement de cet acte et qu’apporte-il ou non aux animaux ?
Un chien est en grande partie guidé par son instinct et par ses hormones. Ceci est vérifié pour le comportement sexuel où, en dehors de toute stimulation hormonale (cycle chez la femelle) ou extérieure (femelle en chaleur à proximité pour le mâle), tout intérêt reproducteur a disparu. Il est donc erroné de croire qu’une femelle a besoin de reproduire ou encore qu’un mâle a besoin d’être entier pour son équilibre.
Qu’est-ce que la stérilisation ?
Pour les femelles, existe trois types d’opérations : la ligature des trompes, l’ovariectomie et l’ovario-hystérectomie.
- La ligature des trompes, au même titre que la vasectomie chez le mâle, rendra impossible la fécondation, mais les ovaires étant conservés, la synthèse des hormones sexuelles (œstrogène et progestérone notamment) est maintenue.
- L’ovariectomie consiste à retirer chirurgicalement les deux ovaires de l’animal. Ainsi la fécondation devient impossible, les hormones sexuelles ne sont plus synthétisées et le cycle sexuel est arrêté. L’opération implique généralement une laparotomie (ouverture de la cavité abdominale) pour aller chercher et enlever les ovaires. Cependant cette opération est également réalisable via une cœlioscopie (image ci-contre).
- L’ovario-hystérectomie consiste à retirer chirurgicalement les ovaires mais aussi les cornes utérines et l’utérus. Les conséquences sont les mêmes que pour l’ovariectomie plus l’impossibilité d’une infection de l’utérus (métrite et pyomètre) puisqu’il a été retiré. Cette opération est préférée à la première chez les petits mammifères (lapin, cobaye, rat, furet).
Quels sont les avantages de la stérilisation ?
Pour les femelles le premier avantage est l’arrêt du cycle sexuel et donc la disparition des désagréments liées aux chaleurs (perte de sang, fugue, portée non désirée…).
De plus, des études ont prouvé qu’une sécrétion permanente d’hormones sexuelles ou un dérèglement dans la sécrétion de ces hormones est à l’origine de nombreuses maladies chez la femelle adulte. Ces maladies sont généralement localisées à l’appareil reproducteur, mais elles peuvent atteindre parfois l’organisme entier. L’ablation définitive des ovaires supprime la source des ces hormones et donc permet de diminuer de façon très importante l’apparition de ces maladies.
Les maladies au niveau de l’appareil reproducteur sont :
- Les kystes au niveau des ovaires entrainant une augmentation de la synthèse hormonale, ce qui entraine alors un allongement de la durée des chaleurs et ne augmentation de leur fréquence et favorise les infections utérines. Ils sont assez fréquents chez le cobaye. Le retrait des ovaires lors d’une stérilisation réduit le risque d’apparition de cette affection à néant.
- Un déséquilibre hormonal peut être à l’origine d’un pyomètre qui peut alors mettre en péril la vie de l’animal. L’ovario-hystérectomie réduit le risque à néant.
- L’imprégnation hormonale du tissu mammaire favorise l’apparition de tumeurs mammaires. 50 % des chiennes non stérilisées ont un risque de développer une ou plusieurs tumeurs de ce type ; et dans 50 % des cas il s’agit de tumeurs malignes pouvant métastaser dans les poumons, mettant en jeu de pronostic vital de l’animal. Chez la chienne, une stérilisation précoce avant les premières chaleurs diminue ce risque à 0,5 %. Ce risque atteint 8 % si la stérilisation à lieu entre les premières et les deuxièmes chaleurs, 26 % entre les deuxièmes et troisièmes…
Les hormones sexuelles agissant sur d’autres organes, un dérèglement de la synthèse de celles-ci peut engendrer des maladies graves comme le diabète.
La grossesse nerveuse est une affection comportementale qui peut rendre votre chienne irascible, agressive, avec parfois une sécrétion lactée qui peut entrainer une inflammation des mamelles voir même provoquer une infection mammaire (mammite). La chienne se comporte comme si elle avait des petits et peut être très perturbée. Ainsi, une chienne non stérilisée à plus de 70 % de chances de faire au moins une grossesse nerveuse avec lactation. Sur ces 70 %, 90 % font des lactations nerveuses à répétition. Or ces lactations nerveuses augmentent le risque de pyomètre, de mammites et de tumeurs mammaires.
Et elles augmentent aussi le risque que si une tumeur se déclare elle soit maligne (73 % de risque de tumeur maligne contre 50 % normalement). Le fait de pratiquer une stérilisation précoce évitera ce genre d’affection.Quels sont les inconvénients de la stérilisation ?
L’incontinence urinaire est souvent évoquer quand on parle de la stérilisation de la chienne. En effet, le déficit en œstrogènes peut engendrer un dysfonctionnement du sphincter de l’urètre. Ce problème répond bien à un traitement hormonal et reste assez peu fréquent.
Le problème le plus souvent aborder est la prise de poids. Alors, clarifions un peu les choses !
Les testicules ou les ovaires sont des organes de synthèse (hormones, spermatozoïdes…), ainsi l’énergie nécessaire à cette activité et celle dépensée par l’action des hormones sexuelles sur l’organisme n’a plus lieu d’être apportée à l’animal après leur retrait. De plus, l’activité physique des animaux stérilisés est généralement diminuée et donc l’énergie nécessaire à cette activité est également amoindrie. C’est pourquoi il faut diminuer la quantité d’aliment donnée, et/ou changer d’aliment et opter pour un aliment hypocalorique pour animal stérilisé.
L’obésité peut être responsable d’arthrose, de prédisposition à la rupture du ligament croisé, de dysplasie de la hanche. Elle peut également augmenter les risques de problèmes cardiorespiratoires et hormonaux (diabète sucré). Bref, l’obésité, comme chez l’être humain, peut avoir des effets néfastes sur la longévité et la santé de votre animal. C’est pourquoi il faut absolument surveiller son poids dans les premiers mois suivant la stérilisation et à tout prix entretenir un exercice physique régulier.
Contrairement à une idée reçue, la stérilisation avant la puberté n’entraîne pas de retard de croissance. Elle a même tendance à prolonger la croissance après l’âge de la puberté car l’absence d’hormones sexuelles retarde l’ossification des cartilages de croissance (zone de croissance des os).
A quel âge faire stériliser mon animal ?
Comme nous l’avons vu avant, afin d’accroître les chances d’échapper aux maladies citées plus haut, la stérilisation des femelles doit être réalisée avant les premières chaleurs. Ces recommandations s’appliquent aux mâles et aux femelles.
Chez les chiens, cette période se situe entre 6 et 7 mois pour les chiens de petites races, et entre 10 et 12 mois pour les grands chiens.
Combien coûte une stérilisation ?
Bien que les tarifs puissent varier grandement d’une structure à une autre, voilà quelques fourchettes pour vous orienter :
- Castration chien : 100-150 €
- Ovariectomie chienne : 200-250 €
- Ovario-hystérectomie chienne : 250-350 €
Conclusion
Malgré les quelques inconvénients cités, il apparait clairement que la balance bénéfice/risque penche en faveur de la stérilisation comme un acte favorisant le bien-être de l’animal.
Ainsi à la question « pourquoi faire stériliser son animal ? » je vous répondrais « parce que je l’aime ».
d'après : "l'étudiant vétérinaire"
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En Irlande, pour le jour de fête nationale, on a enfin trouvé la solution infaillible pour être sûr de fêter la Saint-Patrick au pub avec ses amis : le dressage d’un chien pour les humains. C'est de l'humour irlandais !
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Bonne nouvelle, je sors de chez mon vétérinaire ; je suis négative au MDR1, je suis "homozygote normal, +/+", ce n'est pas une insulte...
Il a justement annoncé que je pouvais manger autant de crottins de cheval que je veux. Cela tombe bien, il y en a dans le champ d'à côté !!!
Cliquez sur l'image pour voir
L’appellation MDR1 est l’abréviation utilisée pour le gêne Multi-drug Resistance 1.
Ce gêne MDR1, lorsqu’il est muté, provoque une sensibilité notamment à l’Ivermectine ainsi qu’à un certain nombre d’autres molécules médicamenteuses.
Le statut génétique d’un chien donné peut être variable selon que ledit chien possède une, deux ou aucune copie mutée du gêne.
Par convention, une copie normale (non mutée) du gêne est indiquée par le signe +. A l’inverse, une copie mutée dudit gêne sera indiquée par le signe -
Un chien peut donc avoir 3 statuts génétiques possibles liés au gêne MDR1 :
+/+ : le chien dont le statut est +/+ possède 2 copies non mutées du gêne MDR1, il est dit Homozygote Normal , et ne sera pas sensible aux molécules type Ivermectine et diverses autres. Par ailleurs, ce chien ne pourra pas transmettre l’anomalie à sa descendance s’il reproduit.
+/- : le chien dont le statut est +/- possède 1 copie mutée et 1 copie normale du gêne MDR1, il est dit Hétérozygote , et sera potentiellement sensible aux molécules type Ivermectine et diverses autres. Par ailleurs, ce chien transmettra statistiquement l’anomalie à 50% de sa descendance s’il reproduit.
-/- : le chien dont le statut est -/- possède 2 copies mutées du gêne MDR1, il est dit Homozygote Muté , et sera sensible aux molécules type Ivermectine et diverses autres. Par ailleurs, ce chien transmettra l’anomalie à 100% de sa descendance s’il reproduit.
Mode d’héritabilité :
Voici un tableau récapitulant les statistiques des différents statuts MDR1 obtenus chez les chiots en fonction du statut des parents :
+/+ +/- -/- +/+ 100% de +/+ 50% +/+, 50% +/- 100% +/- +/- 50% de +/- , 50% de +/+ 25% de +/+, 25% de -/- et 50% de +/- 50% de +/- , 50% de -/- -/- 100% +/- 50% de +/- , 50% de -/- 100% -/- Quelles sont les races concernées par cette sensibilité médicamenteuse :
Le Berger Australien bien sûr (y compris le Mini-Aussie)
Le Colley (poil long et ras)
Le Shetland
Le Border Collie
Le Berger Blanc Suisse/Berger Blanc Américain
Le Bobtail
Le McNab, l’Old English Sheepdog, le Whippet à poil long, le Silken Windhound...
Potentiellement tout chien issu d’un croisement avec l’une ou plusieurs des races pré-citées
Selon l’ASHGI (Australian Shepherd Health & Genetic Institute) 32% des Bergers Australiens possèderaient au moins 1 copie mutée du gêne MDR1 !
Comment s’explique cette sensibilité médicamenteuse :
Le gêne MDR1 code la protéine P-glycoprotéine qui sert à "véhiculer" sans danger diverses molécules médicamenteuses tout en jouant un rôle de barrière protectrice du tissu nerveux cérébral. Lorsqu’il y a mutation du gêne MDR1, cette protéine n’est plus produite par les cellules car le code normalement indiqué aux cellules par le gêne est erroné.
Les chiens atteints de la mutation verront les substances médicamenteuses introduites dans leur organisme arriver au cerveau par les vaisseaux sanguins qui l’irriguent, et au lieu d’en ressortir, passer dans les tissus nerveux entourant lesdits vaisseaux.
Il y a donc à ce moment là accumulation des molécules médicamenteuses directement dans le tissu nerveux cérébral, ce qui occasionne une forte toxicité et des traumas neurologiques pouvant aller jusqu’à occasionner la mort de l’animal.
Toutes les molécules utilisant comme "véhicule" la protéine codée par le gêne MDR1 n’ont pas le même degré de toxicité. Certaines sont tout à fait dangereuses et doivent impérativement ne pas être administrées à des chiens dont le statut génétique est -/- voire même +/- , d’autres doivent faire l’objet de précautions accrues ou de posologies diminuées.
Une des molécules les plus connues pour être dangereuse est l’Ivermectine, molécule utilisée comme agent antiparasitaire peu onéreux. Mais elle n’est pas la seule loin s’en faut. D’autres comme la Lopéramide, molécule anti-diarrhéique bien connue via l’Imodium, doivent être également soigneusement évitées.
Liste non exhaustive des molécules devant être évitées ou utilisées avec avis et prescription vétérinaire exclusivement (en gras : A NE PAS UTILISER) :
- Ivermectine (antiparasitaire, vermifuge) : Ivomec, Advantage...
Doramectine (antiparasitaire, vermifuge)
Abamectine (antiparasitaire, vermifuge)
Lopéramide, Lopéral (antidiarrhéique) : imodium, imossel...
Milbemycine, Selamectine et Moxidectine ( antiparasitaire, vermifuge) : Milbemax, Interceptor, Sentinel, Program...
Acepromazine (tranquilisant et pré-anesthésique)
Butorphenol (analgésique et pré-anesthésique)
Vincristine, Doxorubicine et Vinblastine (anticancereux, chimiothérapie)
Selamectine (antiparasitaire, vermifuge) : Stronghold...
Digoxine (tonique cardiaque)
Cyclosporine (agent immunosuppressif)
Doxycycline (antibactérien)
Morphine, Buprenorphine, Fentanyle (antidouleurs)
Domperidone (antivomitif) : Motilium, Motilyo...
Gerpafloxacine (antibiotique)
Érythromycine (antibiotique)
Sparfloxacine (antibiotique)
Ondansetron (antidiarrhéique)
Chinidine
Ebastine
Dexamethasone (stéroïdes glucocorticoïdes)
Paclitaxel (Anticancéreux)
Mitoxantrone (Anticancéreux)
Etoposide
Œstradiol (œstrogènes)
Quinédine (anti- arythmique cardiaque)
RifampicineComment connaître le statut génétique de son chien :
Il existe heureusement à ce jour un test génétique simple qui permet de déterminer si un chien est sensible ou non.
Par un simple frottis buccal réalisé par le vétérinaire, et analysé ensuite par un laboratoire en génomique canine, on peut ainsi être fixé sur le statut génétique de son chien, et adapter ses comportements en conséquence.
Des laboratoires comme Antagène ou Genindexe pratiquent couramment ce type de tests qui doit être réalisé une seule fois dans la vie du chien pour en connaître le statut génétique.
Quels comportements adopter lorsque son chien est sensible ou potentiellement sensible :
En premier lieu, éviter absolument toutes les molécules reconnues pour présenter un danger toxique, et dans la mesure du possible ne pas utiliser celles pour lesquelles toutes les études n’ont pas prouvé une innocuité certaine ou pour lesquelles il subsiste un doute.
Ne pas pratiquer l’auto-médication car une erreur est vite arrivée !
Concernant l’Ivermectine, ne pas oublier par exemple que d’autres molécules font partie de la même famille (l’Abamectine, la Doramectine... par exemple) et peuvent provoquer les mêmes troubles ! Attention aussi aux génériques qui ne portent pas les mêmes noms que les médicaments plus connus comme l’Imodium !
Avertir votre vétérinaire que votre chien est sensible ou potentiellement sensible !
Même s’il vous semble étrange que ce soit à vous de vous assurer que votre vétérinaire connaisse la liste des médicaments à ne pas utiliser ou à employer avec précautions, n’hésitez pas ! Tous les vétérinaires ne sont pas infaillibles et tous ne se tiennent pas au courant des avancées et des découvertes scientifiques en la matière ! Mieux vaut avoir quelques scrupules à prévenir votre vétérinaire que de perdre votre chien bêtement !
Faire EXTREMEMENT attention aux crottins des chevaux, moutons, etc... !
Bien souvent, de par son faible coût et sa facilité d’utilisation, c’est l’Ivermectine qui est utilisée pour les vermifugations de ces animaux ! Et le produit se retrouve excrété dans les déjections, restant actif pendant un délai qui reste encore à vérifier (les réponses variant d’un laboratoire à un autre...). Les chiens étant souvent friands de crottins de cheval ou de crottes de moutons (surtout pour ceux qui travaillent ou s’entraînent au troupeau !), il est inévitable qu’un jour où l’autre ils en consomment ! Ne pas se leurrer : interdire à son chien de manger du crottin n’est en aucun cas une assurance ! S’il ne le fait pas devant vous, il le fera dans votre dos lorsque vous aurez les yeux tournés !
Pour ceux que cela concerne, éviter autant que faire se peut de marier 2 chiens de statut génétique -/- , cela limitera la propagation de la sensibilité dans la race.
in "Bergers du Nord"
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Terra, un fournisseur d’accès Internet mexicain lance l’opération « Poo Wi-Fi », un moyen mis en place pour motiver les habitants à nettoyer les parcs de la ville de Mexico, en échangeant les crottes de chiens contre un accès Wi-Fi gratuit.
Voici comment cela fonctionne, dix parcs publics à Mexico disposent d’antennes Wi-Fi (en forme d’os) et de poubelles équipées de balances. Lorsque vous déposez « le cadeau » de votre chien dans la poubelle, des minutes Wi-Fi vous sont attribuées en fonction du poids : 70 grammes donnent accès à 20 minutes de connexion. Sympathique non ? De plus, des hôtesses seront présentes pour distribuer les petits sacs appropriés, une façon de sensibiliser les Mexicains et de les motiver à entretenir la propreté des parcs. Même s’il est possible de frauder, en jetant autres choses que des crottes dans les poubelles, cela n’est pas un problème pour Terra et le partenaire de l’opération DDB Mexico, car le principal est de garder un parc propre, alors du moment que le déchet est jeté, peu importe l’objet…
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Lorsqu’un divorce est prononcé, la loi prévoit les mesures adéquates pour la garde des enfants. Mais pour les animaux, la séparation des époux est à la fois simple et complexe. Les explications de 30millionsdamis.fr.
La question de la garde des animaux se pose peu à peu en France, où un foyer sur deux possède un animal domestique. Chat, chien ou hamster, l’attachement des maîtres envers leurs compagnons à quatre pattes est tel que ce dernier devient un enjeu de taille lors de la séparation, en particulier lorsque les époux ne parviennent pas à trouver d’accord à l’amiable. Dans notre code civil, l’animal est considéré comme un bien-meuble (art. 528) : « c’est donc le juge d’instance - celui qui organise le partage des biens - qui peut décider qui garde l’animal en cas de désaccord entre les deux parties », précise Maître Xavier Bacquet.
Ce que dit la loi
Au moment du divorce, deux cas se présentent :
- Si les époux sont mariés sous le régime de la séparation de biens ou si l'animal a été acheté avant le mariage, sa garde revient à celui qui apportera la preuve de sa propriété exclusive, c’est-à-dire le certificat de vente ou la carte de tatouage.
-Si les époux sont mariés sous le régime de la communauté de biens et qu'aucun d'eux ne peut prétendre à la propriété exclusive de l'animal, l’animal ayant été acquis ou adopté « en commun » : soit les époux arrivent à se mettre d'accord ; soit les époux n'arrivent pas à négocier à l'amiable le sort de l'animal. C’est alors le pouvoir discrétionnaire des juges qui tranchera comme dans le cas de la garde d'enfant. Mais « le juge des affaires familiales outrepasse alors ses compétences » rappelle Maître Bacquet. Autrement dit : en portant un tel litige devant cette juridiction, le plaignant peut se voir opposer une fin de non-recevoir – car en théorie, le juge n’a pas à se prononcer – à moins que ce ne soit une cour d’appel qui censure la décision.Le bien-être de l’animal avant tout
Avant de considérer le ressenti du maître ou de la maîtresse, c’est la meilleure option pour l’animal concerné qui doit être choisie. Le couple peut ainsi décider d’un commun accord une garde alternée. Ce système permet notamment de préserver la relation entre les enfants – s’il en existe – et l’animal. Si un chien semble bien adapté à cette situation, il faut tout de même guetter dès les premiers jours des signes éventuels de mal-être, voire des troubles du comportement. Quant au chat, qui est un animal territorial, il pourrait avoir davantage de difficultés à s’adapter à ce système de garde alternée.
Le tout est de se poser les bonnes questions – qui dispose de l’espace, du temps et de l’argent nécessaires aux besoins de l’animal – et de se garder de tout anthropomorphisme : un animal n’est pas un enfant. Une idée partagée par la justice allemande, qui considère, dans une décision de décembre 2011 qui fait jurisprudence outre-Rhin, que le droit de visite en cas de divorce ne s'applique pas aux chiens.
Récemment, un juge de proximité de Marseille (13) a choisi de confier une chienne griffon de trois ans à l'homme qui s'en était occupé depuis sa naissance, alors-même que son ex-compagne en réclamait la garde. Un cas inédit, puisque le couple n’ayant jamais été marié, le juge aurait dû, en théorie, rejeter l’affaire.Source : "30 millions d'amis"
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Un chien n'est pas une chaise. Une évidence ? Ce n'est pourtant pas ce que considère notre Code civil, pour lequel, depuis Napoléon, les animaux sont inscrits dans la catégorie des biens. Et plus précisément des "biens meubles", objets qui, par leur nature, "peuvent se transporter d'un lieu à un autre".
De plus en plus de personnes réclament une réforme de ce statut. D'où un projet d'avis, proposé par le président de la Ligue de protection des oiseaux, Allain Bougrain-Dubourg, qui a été validé en avril 2011 par le Conseil économique, social et environnemental (CESE). Mais las ! Bien qu'adoptée à l'unanimité par la section environnement, puis validée par le bureau du CESE, cette saisine a été stoppée net, mercredi 25 avril, en raison des violentes tensions qui se sont progressivement instaurées entre naturalistes d'une part, et représentants des chasseurs, pêcheurs et agriculteurs d'autre part.
"La pression des lobbies a été si forte qu'elle a rendu tout débat impossible sur ce sujet éthique, au point que nous avons dû nous résoudre à faire voter, au sein même de la section environnement, sur la poursuite ou non de la saisine. A une voix près (14 contre 13), celle-ci a été rejetée. Depuis que le CESE existe, cela n'était jamais arrivé!", s'indigne M. Bougrain-Dubourg. "Si l'on ne peut pas réfléchir sereinement à des questions de ce type dans une assemblée démocratique comme celle-là, où pourra-t-on le faire ?", s'inquiète Anne-Marie Ducroux, présidente de la section environnement, qui a dû se résoudre à organiser le vote.
PREMIER MASTER EN DROIT ANIMAL
En dépit d'une proposition de loi déposée, le 3 avril, par le député Jacques Remiller (UMP), demandant à ce que les animaux soient reconnus dans le Code civil comme "des êtres vivants doués de sensibilité", le temps ne semble donc pas venu de voir s'engager cette réforme.
Est-ce pour cela, entre autres, que l'enseignement du droit animal reste si peu développé en France ? Moins qu'en Espagne et que dans les pays anglo-saxons (Royaume-Uni, Canada, Australie), et bien moins encore qu'aux Etats-Unis ? L'université Lewis & Clark de Portland, dans l'Oregon, vient d'annoncer le lancement, à l'automne 2012, du premier master au monde exclusivement consacré au droit animal. Et le pays dans son ensemble compte quelque 120 universités - parmi lesquelles Harvard et Stanford - proposant des cours dans cette matière.
"A la suite de la publication du livre du philosophe australien Peter Singer, Animal Liberation, en 1975, un vaste mouvement en vue de la reconnaissance de droits en faveur des animaux s'est développé en Amérique du Nord", explique le juriste Jean-Marc Neumann, qui tient un blog exclusivement consacré à ce sujet (Animaletdroit.blogspot.fr). "Par sa nouveauté, son inégalable richesse résultant de sa transversalité [le droit civil, le droit pénal, le droit de l'environnement, le droit administratif, le droit constitutionnel sont concernés], son originalité, l'apport de notions philosophiques et éthiques, ses opportunités nouvelles de carrière, le droit animal attire, aux Etats-Unis, de plus en plus d'étudiants", énumère M. Neumann.
Si Lewis & Clark reste pour le moment la seule université anglo-saxonne à proposer un master dédié à cette discipline, beaucoup d'autres (Melbourne en Australie, Northampton au Royaume-Uni) ont développé des masters en bien-être animal, qui intègrent dans leurs programmes des cours de droit animal. Une tendance que l'on retrouve jusqu'en Catalogne, où la faculté de droit de l'Université autonome de Barcelone a lancé, en octobre 2011, un master interdisciplinaire intitulé "Droit animal et société".
Et en France ? Rien ou presque. La faute à Descartes, et à sa philosophie de l'animal machine ? Un peu, sans doute. Mais pas seulement. "Dans le discours philosophique moderne, l'animalité est toujours définie de manière négative, privative, comme un ensemble de manques : comparé à l'homme, l'animal sera dénué d'âme, de raison, de conscience... Au-delà du domaine savant, cette vision privative se retrouve aussi dans nos pratiques. Et ce qui régit nos pratiques, ce sont, pour beaucoup, les législations", remarque Florence Burgat, philosophe au Centre de recherche Sens, Ethique, Société (CNRS-Université Paris-Descartes) et spécialiste de la question animale. Ce qui nous ramène au Code civil, et à la catégorie des biens mobiliers.
LES ANIMAUX SONT-ILS DES CHOSES ?
Jean-Pierre Marguénaud, juriste universitaire à la faculté de droit de Limoges et directeur de la Revue semestrielle de droit animalier, en est persuadé : si l'application des peines relatives aux délits de cruauté reste négligeable dans notre pays, et si l'enseignement du droit animal y est encore embryonnaire, c'est en grande partie à ce statut juridique qu'on le doit. "Il y a en France des textes protecteurs des animaux qui sont assez avancés. Mais les mêmes dispositions protectrices ne seront pas interprétées avec la même force, la même ampleur et la même efficacité dans un système qui continuera à dire que les animaux sont des biens meubles, que dans un système où on a affirmé le contraire", déclare-t-il. En Suisse, depuis le 1er avril 2003, une disposition du Code civil affirme expressément que les animaux ne sont pas des choses.
Le futur chef de l'Etat français ouvrira-t-il une réforme similaire ? Et notre pays restera-t-il encore longtemps à l'écart de l'essor que connaît dans le monde entier l'enseignement du droit animal ? Le vent pourrait tourner. Ainsi l'épreuve écrite de l'agrégation externe de philosophie, qui se déroulait le 21 mars, portait cette année sur le thème de l'animal, une première. "C'est un détail, mais quand on sait à quel point le milieu académique est resté longtemps fermé à ces questions, il a son importance", note Mme Burgat.
Autre signe annonciateur : M. Marguénaud, qui s'est récemment rendu à l'université de Barcelone, en est revenu avec quelques dépliants sur le nouveau master "Droit animal et société". "Quand j'ai retrouvé à Limoges mes étudiants en droits de l'homme, ils se sont véritablement rués dessus", raconte-t-il. La preuve, à ses yeux, que cette question "est véritablement devenue une question de société, et non seulement de lobbies socio-professionnels".
Catherine Vincent in "Le Monde"
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"Storm" croisé Golden Retriever et Caniche a fait une apparition très remarquée au Journal Télévisé de la chaîne canadienne Global Toronto.
Alors que le présentateur du JT, Leslie Roberts, était en train d'annoncer une information, un petit chien s'est invité sur le plateau et a passé sa tête par-dessus le bureau. Ce qui a surpris de nombreux téléspectateurs.
En fin de journal, le présentateur est donc revenu sur ce petit incicent. "Certaines personnes auront remarqué, il y a quelques minutes, qu'un chien est apparu", lance-t-il. Il demande alors au présentateur de la météo, qui est en fait le propriétaire du chien prénommé Storm (en français, tempête), de s'expliquer. "Il aurait dû rester derrière", lance le maître du chien quelque peu embarrassé. "Non, vous n'avez pas été victime d'hallucinations à la maison", conclut-il pour rassurer les téléspectateurs étonnés.
Storm dont l'apparition télévisée fait déjà le tour du net est devenu une véritable star au pays. Les internautes amusés, lui ont d'ailleurs consacré une page Facebook.
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C'est le nouveau logo "Autour des chiens 29". Sur le site d'origine il est encore plus joli et animé... Il suffit de cliquer ci-dessus pour le voir. "Elfie" est magnifique.
Comportementaliste et éducateur canin, adepte des méthodes douces, Morgan Rolland, la "prof" de Gipsy est basée à Quimper mais présente aussi sur Brest et sur Telgruc sur Mer. Elle se déplace à votre domicile dans tout le Finistère.Nous nous sommes fans.
Gipsy et nous, nous vous conseillons de prendre contact avec elle 06 89 20 28 54.
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« Sisler’s Spike » est un mâle qui prendra le nom de « Ely’s Spike » quand Juanita Ely, éleveuse de moutons avec son mari dans un ranch de Littleton dans le Colorado, l’obtint, en 1959, de Gene Sisler le frère ainé de Jay. Le père et la mère de Spike sont notés comme inconnu. Les vieux ne savaient pas qui était le père et la mère de Spike mais il savait par contre d’où il venait : des Pyrénées amené par un berger basque. Elle précise même que c’était d’un petit pays entre la France et l’Espagne l’Andorre. Faute de travail le berger partit en Australie avec son « little blue dog » puis aux Etats-Unis après avoir été embauché pour garder les moutons sur un bateau. Si on en croit ce témoignage de première main « Sisler’s Spike » qui deviendra « Ely’s Spike » venait bien d’Australie d’où le nom d’ « Australian Shepherd ». Son berger resta travailler dans le voisinage, dans les Etats de Washington, de l’Oregon et de l’Idaho. C’est là que Gene Sisler fit sa connaissance et devint le maître du chien.
Juanita Ely with Ely's Sudsy 1967
On apprend ainsi au détour de cette histoire à quel point il faut être prudent avec les pédigrées de cette époque. Dans certains d’entre eux « Elys’s Spike » est noté sans ascendant connu dans d’autre, on lui attribue généreusement « Sisler’s Spike » comme père ; en fait c’est le même chien. En effet parfois avec le changement de propriétaire le chien changeait de nom prenant celui de son nouveau maitre ou de son nouveau ranch. Il pouvait aussi être doté d’un nouveau nom totalement différent et même sans parents connus alors qu’on les connaissait très bien. Il pouvait aussi être porté « mort » alors qu’il était vivant.
« Ely’s Blue » (ly’s Feo x Ely’s Blue), la mère de « Goody», vendu en 1955 aux Hartnagle (Harnagle’s Goody) et « Badger » (ly’s Feo x Ely’s Blue) (Hartnagle Badger) a fait ses preuves jour après jour au ranch Ely où il y avait plusieurs troupeaux de moutons et de vaches et où il fallait travailler dans les pires conditions : larges cactus, neige lourde et sous-bois épais sous la pluie ou dans la chaleur. Les Hartnagle avaient été tellement enthousiasmé par « Goody » qu’il achetèrent « Badger » une semaine plus tard.
Tous les chiens Ely sont considérés comme du Colorado mais en fait elle en avait acheté chez Bennets, Leitners (Kansas), Breazeales (Californie), et Bye's (Nevada).
« Feo » arriva aux Etats-Unis dans les années cinquante (1950) en provenance directe d’Espagne avec un berger sous contrat de la « Warren Livestock Company ». Juanita Ely acheta ce ‘petit chien bleu’. En 1960 Joe Fernandez l’acheta à Juanita, son ami, et l’utilisa dans le Sud du Colorado et le nord du Nouveau-Mexique où il s’occupait de plusieurs troupeaux de mouton de 1.500 têtes.
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Bonne idée qu'une "crêpes party" pour la première sortie dans le monde de Gipsy fière de ses six mois. Loctudy était surement tout désigné pour cela. Avant le départ tout était prévu : la longe pour accrocher l'animal à "La pierre" de Kerouyen, la cage dans la voiture pour un repli précipité...
Nenni point... Gipsy s'est montrée comme une visiteuse presque parfaite. Après le tour du jardin avec une ptite attirance pour les salades, elle nous a laissé prendre l'apéro gentiment sopus la tonnelle. Bien sûr cette présence dérangeait un peu Ricki et on le comprend : une jeune bbé un peu tout fou qui voulait s'imposer.. mais il a été très compréhensif.
Les crêpes sont toujours aussi excellente à Loctudy... Là encore un totale tranquilité avec les chiens sous la table. Le tout obtenu évidemment avec quelques croquettes !
Juste à la fin, Gipsy se serait bien croquer la petite tortue à la tête qui bouge de la cheminée.
En chienne bien élevée (?!) elle a su attendre les sorties dehors pour faire ses besoins les plus urgents.
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Morgan et ses élèves : de gauche à droite : Gribouille, Gipsy et Ariès. Tout le monde écoute bien les "consignes".
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Je sors de chez la véto, je pèse 18 kg. Il y a deux mois j'alllais vers 23 kg adulte, à cinq mois la prévision est de 25kg, à six mois on va garder la même.
Je suis plutôt dans le grand modèle des femelles. Mais ne vous inquiétez pas, vous le verrez à mes photos, je ne risque pas l'obésité. Qui dit que les "Mastery" sont trop grasses ?
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Parlons de gnaquer / nhacar.
On dit : « Le chien du voisin m’a gnaqué ! », gnaquer provient de l’occitan nhacar qui signifie mordre et se prononce gnacà. Plus précisément le mot nhac veut dire claquement de mâchoire.
Vous pourrez entendre quelqu’un demander : « Qui a gnaqué ce trost de pan ? », ce qui veut dire « Qui a croqué (ou mordu) dans ce morceau de pain ? ».
On utilise aussi fréquemment l’expression avoir la nhac, pour dire avoir la pêche !
Le chemin à suivre : ne pas mordre les joggers comme s'ils étaient de smoutons qui désobéissent... Photo autour du lac de Créac'h Gwenn à Quimper
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